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L’impasse de la politique étrangère de l’Iran

Hamid Enayat De Hamid Enayat
9 avril 2021
Dans Diplomatie, Economie, énergies et entreprises
8 Minute de lecture
L’impasse de la politique étrangère de l’Iran

In this photo released by the official website of the office of the Iranian Presidency, President Hassan Rouhani addresses the nation in a televised speech in Tehran, Iran, Wednesday, Feb. 10, 2021. Rouhani said the West has no way except reaching an agreement with Tehran for restoring 2015 nuclear deal as the nation marked the anniversary of the country's 1979 Islamic Revolution on Wednesday on wheels - cars, motorcycles, bicycles - instead of traditional rallies and marches because of the region's worst outbreak of the coronavirus. (Iranian Presidency Office via AP)/VAH101/21041337635133/AP PROVIDES ACCESS TO THIS PUBLICLY DISTRIBUTED HANDOUT PHOTO PROVIDED BY IRANIAN PRESIDENCY OFFICE. MANDATORY CREDIT./2102101030

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De nouvelles formes de géopolitique prennent forme au Moyen-Orient, avec notamment la Turquie, la Russie, l’Arabie Saoudite et Israël. La visite de Lavrov dans le golfe Persique a envoyé des messages similaires à l’Iran. Les responsables russes ont indiqué qu’ils étaient à la recherche de nouveaux partenaires dans la région, comme en témoigne l’évolution de la situation en Syrie. Ces événements exerceront plus de pression sur l’Iran et bloqueront davantage de voies politiques internationales pour le régime. L’Iran est en train de perdre certains secteurs qui lui assuraient auparavant une influence et un avantage sur le plan de la sécurité ou de la politique.

 

 

La conférence syrienne qui s’est tenue avec la Turquie, le Qatar et la Russie en l’absence de l’Iran a démontré que le régime n’est plus un recruteur actif dans ce domaine. En Syrie, là où l’Iran a beaucoup investi financièrement et humainement, le résultat a été presque nul. Le même scénario se produit en Irak.

 

L’Irak prend de plus en plus de distance avec l’Iran et se rapproche de l’Occident. La visite du Pape dans ce pays a été un autre message clair à cet égard. M. Al-Kazemi (Premier ministre de l’Iraq) ne peut être considéré comme un fidèle allié de l’Iran. Les investissements de l’Iran en Irak ont atteint un plancher record et sont presque nuls. L’ensemble des relations est totalement différent de ce qu’il était il y a six ans.

 

L’Iran mise sur le retour du JCPOA de 2016 et continue d’en bénéficier. Cette croyance est un canular. Tout accord international est le résultat de l’équilibre des forces à ce moment-là. Selon le rapport de force, mars 2021 n’est pas la suite de février et janvier 2015. Il est de plus en plus évident que l’administration de Biden ne soutient pas l’ancien JCPOA, reconnaissant ainsi l’évolution de la situation internationale et régionale, tant pour l’Iran que pour les États-Unis. Même ceux qui ont négocié et défendu le JCPOA reconnaissent la nécessité de modifier l’accord, afin de refléter la nouvelle donne régionale et internationale. Wendy Sherman, la négociatrice en chef des États-Unis pour le JCPOA, ne l’a pas défendu lors d’une récente réunion d’approbation du Sénat.

 

L’évolution des conditions en Iran

 

L’Iran a connu deux révoltes depuis le JCPOA de 2016. Le président iranien Rouhani a déclaré que c’était après le soulèvement de 2017 que Trump avait osé abandonner le JCPOA. Certains cercles du renseignement ont noté que c’est à la mi-novembre 2019, après le soulèvement de la jeunesse insurgée, que Trump a ordonné l’assassinat de Soleimani, le numéro deux du régime. Avec le récent soulèvement du Baloutchistan, le ministère iranien des Affaires étrangères a rejeté les pourparlers des non-alignés avec les États-Unis parce que ce n’était pas une bonne occasion. Pour cette raison, le rôle de l’Iran dans ce nouveau rapport de forces est si minime que le régime iranien attaque actuellement les bases américaines en Irak ou en Afghanistan pour tenter de forcer les États-Unis à négocier selon leurs conditions.

A lire aussi : Iran : bilan d’une année d’accumulation de crises

Changements géopolitiques dans la région

 

Au niveau régional, Israël et les États arabes se sont rapprochés. En réponse au Sénateur Menendez, Wendy Sherman fait référence à l’Accord d’Abraham, qui a modifié les relations et le pouvoir au sein de la région. Ce nouveau partenariat rend plus difficile la négociation avec l’Iran, car le régime se sent acculé au pied du mur. Après tout, nous faisons face à une nouvelle vague au Congrès et au Sénat des États-Unis, ce qui ne fait qu’aggraver les difficultés de l’Iran pour parvenir à leur version des négociations fructueuses.

 

Conditions intérieures aux États-Unis

 

Pendant le mandat de Biden, les législateurs républicains au Congrès des États-Unis ont présenté huit plans visant à empêcher le gouvernement américain de réintégrer le JCPOA. Ces plans consistent à resserrer les sanctions contre l’Iran, déclarer leur non-soutien au JCPOA et à s’opposer à l’assouplissement des sanctions, le tout pour tenter d’empêcher les États-Unis de réintégrer l’accord. Le Sénateur républicain Bill Hagerty a présenté au Sénat, un projet de loi qui supervise toute action gouvernementale visant à lever les sanctions, qui a recueilli le soutien de 27 autres sénateurs.

 

Un autre plan est une résolution présentée par le Sénateur Joe Cotton. Le plan s’oppose à toute forme d’assouplissement des sanctions, à moins que tous les différends avec l’Iran, y compris ses programmes nucléaires, de missiles et régionaux, ne soient réglés. Trente et un sénateurs ont également soutenu le projet de loi. Deux plans parallèles ont également été introduits à la Chambre des représentants, le plan parallèle de Haggerty ayant 24 partisans et le plan similaire à celui de Cotton ayant 30 partisans.

 

Le JCPOA de 2016 n’a pas atteint ses objectifs.

 

La principale critique à l’égard des républicains américains conservateurs et des démocrates éminents du Congrès en 2015 était que le JCPOA bloquait temporairement l’acquisition d’armes nucléaires par l’Iran et qu’une série d’échéances était à venir. Ces échéances permettraient de lever toutes les restrictions imposées au programme nucléaire et de missiles iraniens dans le cadre de l’accord. En 2030, l’Iran pourra enrichir indéfiniment et augmenter indéfiniment le nombre et la qualité de ses centrifugeuses, puisqu’il le fait déjà. Ce niveau de capacité à enrichir l’uranium mettra également l’Europe en danger. Lors de la session du Sénat visant à approuver la Sous-Secrétaire d’État Wendy Sherman, Mitt Romney a critiqué le JCPOA pour avoir temporairement empêché l’Iran d’acquérir des armes nucléaires, mais qu’en est-il à long terme ? On attendait de Wendy Sherman qu’elle s’oppose à cette notion et à cette compréhension parce qu’elle était l’une des architectes du JCPOA. Cette fois, elle n’a pas répondu à Mitt Romney et s’est contentée de dire : « Oui, la situation a changé. »

 

La notion illusoire de la République islamique

En 2015, on ignorait quand l’Iran allait acquérir l’arme nucléaire dans les mois à venir. Obama était disposé à ce que cette acquisition se produise. L’idée d’Obama et de Kerry en 2015 était que si nous nous entendions avec l’Iran, alors le régime pourrait être géré, changer sa politique étrangère et être modéré dans la région. Ces croyances se sont avérées être des illusions, et il n’y a pas de modérés à l’intérieur de l’Iran. Bien au contraire, des exécutions, des arrestations et des prises d’otages ont lieu en Iran. Il n’y a pas de modération dans la politique étrangère. En plein jour, le régime iranien a voulu faire sauter un rassemblement de l’opposition iranienne en France en 2018 en utilisant son diplomate en activité. Ce diplomate a récemment été condamné à 20 ans de prison.

 

Au fil des ans, l’Iran a cessé de s’impliquer dans la région, mais grâce aux fonds dégagés, il a élaboré un programme de missiles balistiques et a lancé un missile portant le slogan Mort à Israël. Les États-Unis et le monde entier voient le sang versé par les milices soutenues par l’Iran au Moyen-Orient au cours des cinq dernières années.

 

La fin de la capacité stratégique du régime

 

Le JCPOA était le produit de l’équilibre des forces en 2015. La capacité stratégique du régime a diminué depuis. Une grande partie de ses installations nucléaires a été perdue ou démantelée. Il ne sera pas en mesure d’acquérir une arme nucléaire de sitôt. En 1967, à 2h30 du matin, M. Zarif cherche Javier Perez de Duquelar pour lui remettre une lettre d’acceptation de la résolution 598, car le rapport de force avait changé. L’opposition iranienne, les Mojahedin, l’épée de Damoclès étaient à la poursuite du régime et étaient prêtes à occuper Téhéran et à le renverser. Si Zarif n’avait pas agi de la sorte, il n’y aurait aucune trace de lui et de son gouvernement aujourd’hui.

 

L’imagination diplomatique

 

L’administration Biden encouragera l’Iran et s’intéresse à la diplomatie, mais la base principale du travail de Biden aujourd’hui est la diplomatie coercitive. L’idée que Trump n’est plus là pour nous permettre de mieux travailler avec les Américains est une perception enfantine et une sorte d’imagination diplomatique.

 

Biden ne dépassera pas rapidement les leviers créés par Trump pour la politique étrangère américaine. Biden a en effet annoncé son intention de revenir au JCPOA, mais pas à celui que l’Iran a négocié en 2015. Quelle a été la principale critique de Biden à l’égard de la stratégie de pression maximale de Trump ? Nous pouvons durcir les relations avec l’Iran grâce à une diplomatie intelligente. Biden n’a jamais dit que Trump était dur, et je ne le serai pas. En 2019, Biden a publié un article dans Cyanide, décrivant ses moyens astucieux de sévir contre l’Iran, notamment la pression et la diplomatie. Trump a préparé le terrain pour la pression. Aujourd’hui encore, l’actuel président des États-Unis fait preuve d’une plus grande diplomatie. Biden, tout en consultant ses partenaires, n’a jamais caché que le JCPOA est la première étape. Pour Biden, l’accord facilite le désarmement de la République islamique. Cet objectif signifie une impasse pour le régime iranien.

 

Le régime veut négocier, mais il ne veut pas renoncer à son programme de missiles et à son ingérence dans les pays de la région. Bien que les Américains recherchent avant tout un consensus sur le nucléaire, ils ont répété à plusieurs reprises qu’ils ne voulaient pas que l’Iran ait la bombe atomique. L’Iran a perdu son avantage dans ce domaine. Toutefois, l’Iran n’aime pas lier un éventuel JCPOA de 2021 à son programme de missiles balistiques et à son influence régionale. Il en a besoin comme monnaie d’échange, d’où son insistance sur un retour au JCPOA de 2016. Compte tenu des positions qui existent des deux côtés et des positions au sein du Congrès, il semble que le régime iranien aura du mal à faire avancer son agenda.

 

Les sanctions sont plus qu’une simple question économique ; c’est une question de sécurité pour la République Islamique d’Iran. L’un des objectifs les plus importants de la politique étrangère de l’Iran est de tenter de lever les sanctions. Le régime ne peut maintenir le financement de ses milices et de toutes ses forces à l’intérieur et à l’extérieur de l’Iran, réduisant ainsi son influence régionale. Tout compromis au nom du régime iranien est considéré comme un recul et un signe de renoncement.

 

L’Iran considère son influence régionale comme son atout. L’affaiblissement de l’influence de l’Iran dans les pays de la région aura un impact direct sur l’issue des négociations du JCPOA parce que le régime a toujours dit que la diplomatie sans le soutien des leviers de pouvoir et de négociation n’est pas une réussite. S’il ne renonce pas à son influence régionale, il doit être à la hauteur du consensus mondial contre la République islamique et des éventuelles résolutions de l’ONU à son encontre. L’autre solution pour le régime est de se plier aux nouvelles exigences de l’accord de 2021. Essayer de lever les sanctions, garder une emprise étroite sur le pouvoir et prévenir des conséquences globales sont des pièces du puzzle que le régime iranien essaie de résoudre. Est-il possible pour le régime de sortir de ces situations paradoxales ?

A lire aussi : Iran et Chine, mise en perspective d’une alliance en trompe l’œil

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Tags: JCPOAnucléaire iranienRohani
Hamid Enayat

Hamid Enayat

Hamid Enayat est un analyste iranien basé en Europe. Militant des droits de l'homme et opposant au régime de son pays, il écrit sur les questions iraniennes et régionales et en faveur de la laïcité et des libertés fondamentales. Il collabore avec Media Express Press Agency.

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Commentaires 2

  1. pinatel says:
    Il y a 1 semaine

    Cher Monsieur
    Je trouve cette analyse probablement influencée par votre situation personnelle. Un analyste et je sais que c’est difficile doit savoir s’en extraire. Vous soutenez une thèse qui ferait plaisir aux américains mais elle m’apparait déconnectée de la réalité du terrain où j’ai la chance de pouvoir me rendre:
    1) C’est l’Iran qui sort vainqueur avec la Russie de ces dix ans de guerre en Irak et en Syrie au prix de 2500 martyrs: elle a sauvé Bagdad de Daech; a renforcé ses positions en Syrie via le Hezbollah qui sort plus puissant de cette guerre et à mis en échec l’Arabie Saoudite, promotrice de l’OTAN arabe au Yémen et en Syrie. Certes les iraniens souffrent mais pas tous et la haine des USA et leur politique est un puissant atout de cohésion pour le régime
    2) L’Iran vient de signer un accord stratégique avec la Chine qui a d’autant plus besoin d’elle pour sécuriser ses approvisionnements par voie terrestre d’autant que les 2 autres routes Nord de la route de la soie partant du Xinjiang sont sur la menace des minorités turcophones que les services d’un Erdogan, en pleine dérive islamique et pan-Ottomane, manipulent probablement avec l’appui des USA qui craignent par dessus tout la création d’une Eurasie dominée par la Chine
    3) Même Israël a compris que l’Iran et la Russie sont les maîtres du jeu au MO et pousse les USA à revenir dans le traité nucléaire.
    4) L’Irak reste l’Irak. Le peuple conserve un ressentiment profond contre les américains même si les dirigeants corrompus profitent de l’aide américaine. L’ assassinat de Qassem Soleimani qui a sauvé Bagdad de Daech, tué en Irak par un tir de drone américain a été perçu comme une atteinte à la souveraineté iranienne et a renforcé ce sentiment y compris dans les classes dirigeantes
    Je suis prêt à aller plus loin avec vous d’autant que je connais et apprécie Conflits et son rédacteur en chef
    Bien à vous
    Général (2s) Jean-Bernard Pinatel

    Répondre
  2. Reiniger says:
    Il y a 6 jours

    Monsieur,
    Je ne suis pas un spécialiste du Moyen-Orient et encore moins de l’Iran mais c’est le deuxième article que vous écrivez et qui me surprend. Il me semble que vos critiques sont influencées par un ressentiment et que vos analyses tendent à présenter un pays anéanti, sans aucune capacité d’action. Le message de monsieur Pinatel me rassure, car, c’est l’analyse que je faisais de l’actualité au MO et en Iran.
    J’espère avoir une réponse convaincante par vous ou l’un de vos relecteur.
    Cordialement

    Répondre

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