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Fêtons Waterloo !

Pierre Royer De Pierre Royer
14 octobre 2014
Dans Conflits armés, Europe
3 Minute de lecture
Fêtons Waterloo ! Le lion édifié par les Alliés après leur victoire. Morne plaine...
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Dans chaque numéro de Conflits, la page « polémiques » ouvre une réflexion sur un sujet controversé. Dans le numéro 3, Pierre Royer réagit à l’enseignement contemporain de l’Histoire, « muée en une discipline fourre-tout dont la vocation est essentiellement « citoyenne » et « morale » et non plus scientifique ou littéraire. » Consultez l’article et réagissez en ligne.

Si le débat public français ne manque pas de tintamarres conjoncturels ou récurrents, il y a un sujet qui n’a été salué que par un silence assourdissant : celui des commémorations du bicentenaire du Premier Empire, et notamment de ses victoires militaires.

On m’objectera qu’il est puéril et archaïque de mesurer la gloire d’une nation à un empilement de cadavres et d’estropiés et que le patriotisme consiste aujourd’hui à oublier ces ambitions hégémoniques pour se fondre dans l’ensemble européen. Cet argument, très condescendant pour nos voisins qui n’ont pas hésité à marquer le bicentenaire d’une victoire présentée comme le réveil de la nation allemande (Leipzig), oublie qu’on peut commémorer sans « célébrer » et qu’un anniversaire permet de faire œuvre pédagogique. Car il ne faut pas compter sur les programmes scolaires, d’où les conquêtes napoléoniennes ont quasiment disparu, frappées par un devoir d’amnésie, pour que les générations futures puissent un jour expliquer pourquoi des ponts de Paris portent le nom d’Austerlitz ou d’Iéna.

Que cette terre brûlée mémorielle ait été entérinée sous deux présidents censément gaullistes est encore plus consternant. Auraient-ils oublié la phrase des Mémoires de guerre du Général : « La France ne peut être la France sans la grandeur » ? Certes, la grandeur ne passe plus aujourd’hui par la puissance militaire (quoique… ce qui est vrai en Europe n’est pas forcément universel), mais oublier que tel n’était pas le cas auparavant nous expose à ne plus rien comprendre à l’histoire des siècles passés.

La première explication de ce fiasco est que, comme l’a diagnostiqué il y a dix ans Régis Debray, les élites françaises, ou qui se prétendent telles, n’aiment pas la France et, peut-être même, n’aiment pas les Français. Ce divorce justifie une tentative d’acculturation dont l’enseignement est un fer de lance.

De là découle la deuxième explication : les élèves français n’apprennent plus l’histoire, car l’histoire s’est muée en une discipline fourre-tout dont la vocation est essentiellement « citoyenne » et « morale » et non plus scientifique ou littéraire. On répète en histoire l’erreur commise il y a déjà des années en « français » : vouloir intégrer dans l’enseignement commun les « fronts pionniers » de la recherche et des problématiques qui ne peuvent être abordés sans un certain bagage de connaissances.

Il nous reste une chance de nous rattraper : associer la France au bicentenaire de la bataille de Waterloo, en 2015. Voyons : une coalition européenne qui triomphe d’un dictateur aux visées hégémoniques, difficile de résister devant une telle anticipation de la Politique étrangère et de sécurité commune (PESC) de l’Union européenne ! Comment ? La coalition en question s’appelait la « Sainte Alliance » et allait rétablir en Europe un ordre plutôt conservateur, voire réactionnaire ? Quelle importance, aux yeux du « temps long » de la construction européenne dont l’ADN comportait déjà la résistance à « l’oppression nationaliste » ?

Les lecteurs auront compris l’ironie de ma dernière phrase parce qu’ils sont sensibles au second degré littéraire ; ce n’est plus le cas de l’écrasante majorité de mes élèves.

Photo : Le lion édifié par les Alliés après leur victoire. Morne plaine… Crédit : michel_colin via Flickr (cc)

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Pierre Royer

Pierre Royer

Agrégé d’histoire et diplômé de Sciences-Po Paris, Pierre Royer, 53 ans, enseigne au lycée Claude Monet et en classes préparatoires privées dans le groupe Ipesup-Prepasup à Paris. Ses centres d’intérêt sont l’histoire des conflits, en particulier au xxe siècle, et la géopolitique des océans. Dernier ouvrage paru : Dicoatlas de la Grande Guerre, Belin, 2013.

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Commentaires 10

  1. Bréau Aurélien says:
    Il y a 6 ans

    Je me demande pourquoi les politiques pro-européens de Bruxelles n’essayent pas de créer un véritable mythe européen autrement que sur les noms de ses « pères fondateurs » et la culpabilité de la seconde guerre mondiale.
    Une nation pour qu’elle puisse exister a besoin de mythes qui puissent lier entre eux les individus dans une ferveur commune. L’exemple le plus probant reste encore Jeanne d’Arc qui a, durant des centaines d’années, symbolisé l’union de la nation française contre toute domination étrangère.
    Mais il faut croire que pour les européistes les nations se décrètent, se construisent sur les plans économiques et politiques. tandis qu’en vérité elles naissent et se perpétuent dans une mémoire commune et un attachement à des histoires.
    En effet je suis d’accord avec vous, un anniversaire de cette victoire d’une coalition européenne serait une bonne chose (moins pour notre amour propre national mais bon…).
    C’est ce genre de détails importants qui me font penser que si l’Europe naît un jour, ce qui n’est pas acquis, je lui donne, à tout cassé, 50 ans d’existence car à la moindre crise elle explosera car les peuples qui la formeront auront bien du mal à se sentir européens.

    Répondre
  2. 1984 says:
    Il y a 6 ans

    On devrait aussi commémorer Crécy, Poitiers et Azincourt….

    Répondre
  3. Yves says:
    Il y a 6 ans

    @1984 : Mettre sur le même pied victoires et défaites me semble assez étonnant.
    Pour en revenir au propos de l’auteur, il est évident que l’Education nationale nous prépare une belle génération d’abrutis : si l’objectif est de couper un peuple de ses racines, il semble que cela soit assez réussi… Mais rassurons-nous : pour pointer à l’ANPE, pas besoin de savoir qui sont Napoléon, Louis XIV ou Jeanne d’Arc.

    Répondre
    • Bréau Aurélien says:
      Il y a 6 ans

      Ah si vous saviez comme j’ai parfois honte de ma génération…

      Répondre
  4. brandenburg says:
    Il y a 6 ans

    Je ne réponds pas directement à cet article-qui est assez bon quoique critiquable par certains aspects- mais sur l’éditorial de la revue.Pensée duale ou dualiste est à peu près équivalent etde fait remonte à certains philophes de la Grèce ancienne dont le maitre incontesté est Platon et pour nous français ce lamentable descartes mais il s’agit là d’une philosophie idéaliste catastrophique et fausse.Il faut lui opposer la philosophie d’Aristote,réaliste que la catholicisme reprendra en la développant avec Saint Thomas d’Aquin.En très bref,celle-ci est fondée sur le principe d’identité qui entraine à sa suite deux autres principes,celui de non-contradiction et celui de tiers exclu.Un est donc trois et trois sont un-Emile Boutroux,philosophe du siècle dernier trop oublié:c’est la définition meme de la Sainte Trinité chrétienne:le Père ,principe d’identité,engendre le Fils,principe de non-contradiction et les deux spirent le Saint Esprit,principe de tiers exclu:un est trois et trois sont un.La structure du monde naturel intelligible par l’intellect de l’homme est à l’image et ressemblance de la structure de Dieu inaccessible par l’intellect mais seulement par la foi.Tout voir à cette aune change tout et abolit tout conflit entre deux qui s’opposent forcément!La doctrine de la guerre de Saint Thomas d’Aquin-accessible sur internet-tire les conséquences de cette philosophie et religion réalistes!

    Répondre
  5. Alexis Livier says:
    Il y a 6 ans

    Fêter la fin d’un monde est aussi indécent que d’envoyer le « Charles-de-Gaulle » parader pour fêter Trafalgar, en 2005, ce que je n’ai jamais pardonné à son Altesse Jamais-Elue, Dominique de Villepin, qui a pourtant écrit une fort belle trilogie sur Napoléon, mais qui, dès qu’il s’est agi de faire des choses concrètes, a invoqué le risque de blesser nos voisins.

    Nous n’avons pas à rougir de notre Histoire : ce n’est pas nous qui avons créé les camps de concentration, mais les Anglais, ni les chambres à gaz, mais les Allemands ! Oui, nous avons fait beaucoup de guerres… Comme tous les pays du monde, qui, lorsqu’ils ont fait passer l' »humanisme » avant les intérêts du pays, se sont fait manger, ce qui nous est arrivé (1870, 1914-1918 [excusez, mais nous n’aurions pas gagné tout seuls…], 1940, etc.)

    La Nation est l’entité qui nous permet d’avancer ; ni trop repliée sur elle-même comme une région, ni trop utopique comme une Europe à cinq cents millions d’habitants, cinquante cultures et langues, quatre ou cinq religions, et doit donc être célébrée, et ce, dès l’école primaire.

    Il est inadmissible qu’aujourd’hui, des gens puissent penser que Napoléon a existé avant Louis XIV (oui oui, c’est du vécu…)

    Un roman national est nécessaire pour retrouver notre fierté, donc les solutions à mettre en oeuvre pour nous en sortir.

    Vivent les Louis, les Philippe, les Napoléon, les Charles, le Grand Charles, et même le Grand Maximilien (eh oui !) !

    Répondre
  6. 1984 says:
    Il y a 6 ans

    @Yyes : Poitiers (1356) fut une dramatique défaite française, curieusement méconnue dans un pays où l’on est plus prompt à se souvenir de nos défaites plutôt que de célébrer nos victoires : Trafalgar, Waterloo, Dien Bien Phu…

    Répondre
  7. Guillaume_rc says:
    Il y a 5 ans

    « les élèves français n’apprennent plus l’histoire, car l’histoire s’est muée en une discipline fourre-tout dont la vocation est essentiellement « citoyenne » et « morale » et non plus scientifique ou littéraire.  »

    Et encore quand il s’agit d’Éducation Civique, mes cheveux se hérissent. Au programme de V°, ma fille apprend qu’il est malhonnête de payer une baby sitter en liquide et que seuls les mauvais citoyens ne recourent pas au « chèque emploi service ».

    Ne nous étonnons plus de rien…

    Répondre
    • Guillaume_rc says:
      Il y a 5 ans

      On vit quand même dans un pays curieux.

      Les gens cultivés connaissent Azincourt mais très très peu de gens connaissent la bataille de Castillon.
      Victoire française qui marque pourtant la fin de la guerre de 100 ans et qui est un des premiers exemples d’utilisation de l’artillerie.

      Répondre
  8. Emmanuel FECHNER says:
    Il y a 5 ans

    Certains diront qu’il est un peu tard pour réagir en janvier 2016 à un article paru en octobre 2014. Mais le propre du lectorat d’une revue comme « Conflits » est d’être limité (ce qui n’est pas un reproche) mais aussi d’être au moins composé de personnes partageant (à priori) un intérêt marqué pour la géopolitique et l’histoire. C’est personnellement mon cas et j’ai découvert récemment cette revue dont j’ai pu commander les premiers numéros.

    Je partage l’ensemble des points de vue concernant la relégation à un niveau inférieur de l’enseignement de l’histoire : « qui ne connait pas son histoire se condamne à la revivre », aurait dit une personnalité (je ne sais plus laquelle – peut-être Winston Churchill).

    La renonciation à organiser des festivités autour du 200ème anniversaire de la bataille d’Austerlitz m’avaient beaucoup déçu à l’époque, surtout de la part d’un homme qui n’a jamais caché une certaine grandiloquence et qui avait tout de même écrit une trilogie sur Napoléon. Je vais vous surprendre. Etant inscrit comme lecteur sur le site du journal britannique « The Guardian », je me suis intéressé aux commémorations outre-Manche du 600ème anniversaire de la bataille d’Azincourt. Si, comme pour le 200ème anniversaire de la bataille d’Austerlitz, ce fut l’occasion de multiples articles dans la presse, de la parution de multiples travaux d’historiens et d’expositions, j’ai été surpris par la relative indifférence des Anglais. Ceux-ci, avec un certain bon sens, ont noté que la bataille d’Azincourt a plutôt marqué le commencement de la fin pour l’Angleterre dans la guerre de Cent Ans. Certes les troupes anglaises finiront par conquérir une partie importante du territoire national. Mais Henri V mourra quelque mois avant Charles VI, l’empêchant de ceindre la couronne de France qui lui était promise lors du honteux traité de Troyes livrant la France aux Anglais. Ceux-ci rateront même l’occasion de faire sacrer son fils Henri VI à Reims quand ils le pouvaient. Mais surtout ils ne remporteront plus de victoire militaire. Et à la fin des fins ce sont les Français qui finiront par l’emporter, ruinant définitivement le rêve continental des Anglais. Les Anglais d’aujourd’hui considèrent avec justesse qu’Azincourt ne fut rien d’autre qu’une victoire qui n’avait rien de décisif dans ce qui fut une guerre de conquête. Eh bien je pense aujourd’hui la même chose de la bataille d’Austerlitz. Si celle-ci fut incontestablement une très brillante victoire militaire pour Napoléon dans une campagne militaire, il est impossible de parler d’elle et de son vainqueur sans penser à ou parler de l’échec final de Waterloo. Il faut noter que la bataille d’Austerlitz fut précédée de 6 semaines par la défaite navale de Trafalgar. Il est amusant de constater que le chapitre napoléonien de l’histoire militaire de l’Europe s’ouvrit sur une défaite navale face aux Anglais et ce conclut sur une défaite terrestre face aux Anglais aidés par les Prussiens. Pour résumer Austerlitz fut une très brillante victoire qui ne fut en rien décisive tandis que Waterloo est une défaite qui fut décisive car elle mit un terme définitif à l’épopée napoléonienne à la fois en France et en Europe et marqua le début d’un siècle de domination britannique partout dans le monde jusqu’en 1914. Le XIXème siècle fut incontestablement le siècle britannique.

    Répondre

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