Podcast – Les poncifs de la Grande Guerre

2 janvier 2020

Temps de lecture : < 1 minute

Photo : L’armistice du 11 novembre 1918 mettant fin à la Première Guerre mondiale, Auteurs : E.R.L./SIPA, Numéro de reportage : 00349410_000002.

Abonnement Conflits

Podcast – Les poncifs de la Grande Guerre

par

Entretien avec le Général Elrick Irastorza, président de la Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale sur la Première Guerre mondiale, ses mythes, ses poncifs et ses vérités. 

Entretien réalisé par Jean-Baptiste Noé.

Un siècle après son terme, la Première Guerre mondiale continue à développer des poncifs et des vérités de rue autour de son histoire. Dans un ouvrage paru aux éditions Pierre de Taillac, l’auteur revient sur 30 poncifs qui déforment la juste vision de cette guerre, qui fut une rupture majeure
Conflits revient sur quelques vérités établies pour mieux comprendre ce conflit majeur.
Entretien avec le Général Elrick Irastorza, chef d’état-major de l’armée de terre de 2008 à 2011 et président de la Mission du centaine de la Première Guerre mondiale. Retour sur les débuts de la guerre, les décisions prises par le commandement pour affronter les Allemands, le rôle joué par les États-Unis, la mémoire du conflit, la place des fusillé et le sens du sacrifice de la vie aujourd’hui, dans une armée professionnelle.

Retrouvez les autres podcasts :

Vous venez de lire un article en accès libre

La Revue Conflits ne vit que par ses lecteurs. Pour nous soutenir, achetez la Revue Conflits en kiosque ou abonnez-vous !
À propos de l’auteur
Jean-Baptiste Noé

Jean-Baptiste Noé

Docteur en histoire économique (Sorbonne-Université), professeur de géopolitique et d'économie politique à l'Ircom. Rédacteur en chef de Conflits.

Voir aussi

Grande stratégie du Vatican

Chacun connaît la remarque de Staline « Le Vatican, combien de divisions ? ». Elle est souvent citée pour illustrer les diverses formes de la puissance. L’URSS est disparue depuis des décennies et les grands chefs d’État se sont pressés aux obsèques du pape François : signe que le plus petit État du monde compte encore beaucoup alors qu’il ne contrôle que 0,5 km² et ne recense que 764 habitants. Ce nano-État démontre que l’influence stratégique repose sur des facteurs autres que les ressorts quantitatifs de la puissance, qu’ils soient géographiques, économiques ou militaires.

Le Vatican, une école du réalisme

Sa nature religieuse devrait conduire le Saint-Siège à une diplomatie idéologique faite de principes, de sentiments et d’interdits moraux. Pourtant, son action s’avère souvent très pragmatique, et par là déconcertante. Il convient donc d’en définir la nature exacte.