Les défis de la tech #2 – Jean-Christophe Cambadélis

29 mai 2022

Temps de lecture : < 1 minute

Photo : La tech, une industrie à part ? (c) Unsplash

Abonnement Conflits

Les défis de la tech #2 – Jean-Christophe Cambadélis

par

Deuxième émission consacrée aux défis de la tech. Jean-Christophe Cambadélis a été député, Premier secrétaire du Parti socialiste et chargé des questions technologiques durant le quinquennat de François Hollande. Il revient dans cette émission sur les débuts du développement de la tech en France et la façon dont le gouvernement y a répondu. Plus largement, il aborde également le rapport complexe entre la tech et la démocratie et la façon dont cette dernière peut s’en trouver modifiée.

Émission présentée par Charles Degand, fondateur et directeur d’Angelsquare et Jean-Baptiste Noé.

Retrouvez les autres podcasts de Conflits :

Mots-clefs :

Vous venez de lire un article en accès libre

La Revue Conflits ne vit que par ses lecteurs. Pour nous soutenir, achetez la Revue Conflits en kiosque ou abonnez-vous !
À propos de l’auteur
Revue Conflits

Revue Conflits

Fondée en 2014, Conflits est devenue la principale revue francophone de géopolitique. Elle publie sur tous les supports (magazine, web, podcast, vidéos) et regroupe les auteurs de l'école de géopolitique réaliste et pragmatique.

Voir aussi

L’argumentation fallacieuse derrière la « taxe Zucman »

Le 12 juin dernier, le Sénat a rejeté la proposition de loi déposée par Éva Sas et Clémentine Autain, députées du groupe Écologiste et Social, visant à instaurer un impôt plancher sur la fortune (IPF) de 2 % sur le patrimoine des ultrariches (1 600 à 1 800 foyers fiscaux). Le matin même, dans Le Monde, trois économistes de renom1, dont l’inspirateur de cet impôt rebaptisé à ce titre « taxe Zucman », en assuraient la promotion sur la base d’arguments fallacieux qui doivent tour à tour être réfutés.

L’UE s’organise pour financer la défense

Le 27 mai, sur proposions de la Commission européenne, le Conseil de l’Union européenne a décidé la création d’un fonds de défense de 150 milliards d’euros. Cet instrument, appelé SAFE (Security Action for Europe), permettra à l’UE de lever des capitaux sur les marchés financiers et...