[colored_box bgColor= »#f7c101″ textColor= »#222222″]Cette recension a été publiée dans le numéro 15 de Conflits. Si vous souhaitez acheter ce numéro, rendez-vous sur la e-boutique de Conflits en cliquant ici.[/colored_box]

La métaphore de la mosaïque renvoie ici à un archipel de micro souverainetés fluctuantes et à une forte souplesse idéologique au sein des organisations actives dans les territoires occupés. En dépit de l’hégémonie relative du Fatah par le passé et celle du Hamas aujourd’hui, le mouvement national palestinien est profondément pluraliste, traversé d’idéologies et de sensibilités contradictoires.
Cette suroffre politique se caractérise par la persistance des vieilles organisations nationalistes et marxistes issues de l’OLP (FPLP, FDLP, FPLP- CG, Saïka…) et des nouvelles, islamistes-nationalistes, qui ont émergé en dehors (Hamas, Djihad islamique).
L’occasion pour l’auteur de revenir sur la stratégie, le positionnement et les débats de fond qui agite la scène politique palestinienne vis-à-vis de l’occupation israélienne, de l’OLP et d’une Autorité nationale palestinienne définie comme un « lourd fardeau nécessaire » que se disputent les différents partis politiques.
T. Y.
[colored_box bgColor= »#DCEDC8″ textColor= »#222222″]Nicolas Dot-Pouillard, La Mosaïque éclatée, une histoire du mouvement national palestinien (1993-2016), Sindbad/Actes sud, 272 p., 22 €[/colored_box]
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