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Renseignement : se transformer pour s’adapter aux nouvelles menaces. L’exemple de la DRSD

Éric Bucquet De Éric Bucquet
7 mars 2020
Dans France, Idées
8 Minute de lecture
Renseignement : se transformer pour s’adapter aux nouvelles menaces. L’exemple de la DRSD

Le combat du lion et du serpent (c) DRSD

« Nous sommes en guerre », ces mots prononcés par le Premier ministre en 2015, à l’issue des attentats perpétrés dans Paris, n’ont rien perdu de leur actualité. De la menace terroriste à la confrontation des intérêts économiques, des atteintes cybernétiques à la captation d’informations numériques, la France est quotidiennement défiée par des acteurs qui tirent profit de la déstabilisation et du chaos. Dans une société qui se fragmente, les événements anxiogènes qui défraient régulièrement la chronique conduisent naturellement les Français à réclamer à l’État toujours plus de sécurité. Cette tendance saute aux yeux dans les sondages. Or, il n’y a pas de sécurité réelle et durable sans vision et sans anticipation. La DRSD s’inscrit précisément dans cette perspective, elle est un outil de la « connaissance préalable (1)», le temps d’avance des décideurs.

Entretien avec le général Éric Bucquet, directeur de la Direction du renseignement et de la sécurité de la défense (DRSD). Propos recueillis par Jean-Baptiste Noé.  

Les défis du renseignement français

 Dans ce contexte sécuritaire dégradé sur le plan national et international, caractérisé par sa volatilité, sa complexité et son incertitude ressortent quelques tendances lourdes que vous avez d’ailleurs parfaitement traitées dans de précédents articles.

Je pense en premier lieu à la persistance de la menace terroriste djihadiste. Elle se restructure et se recompose en jouant sur les fragilités des États, sur toutes les failles juridiques et culturelles, dont elle se saisit. Le retour des Français partis combattre au Levant pour l’État islamique et les libérations prochaines des djihadistes incarcérés constituent un défi majeur pour les services de renseignement et le législateur qui doivent en permanence tenir compte du juste équilibre entre sécurité et respect des libertés individuelles. Ce principe, au cœur de la loi pour le renseignement de 2015, est une préoccupation permanente de la DRSD.

Le deuxième défi est économique. La confrontation des intérêts fait rage sur les marchés internationaux sur la base notamment des lois à portée extraterritoriale et des audits de conformité qui s’imposent à nos entreprises et génèrent des risques de fuite d’informations sensibles vers des puissances tierces. Ces opérations de captation de savoir-faire peuvent aussi prendre la forme de prédations par le biais d’opérations de rachat hostile, à des fins d’appropriation du potentiel scientifique et technique et d’affaiblissement sectoriel. Dans ce domaine, les services de renseignement doivent non seulement contribuer à la protection de nos grandes entreprises, mais également celle de nos jeunes pépites, car ces dernières font l’objet de nombreuses convoitises et sont souvent bien moins armées que leurs aînées pour lutter contre ces ingérences.

Le dernier défi est technologique. Le facteur technologique joue un rôle fondamental dans l’évolution de ce contexte en précipitant certains phénomènes, voire en les exacerbant. Bruno Le Maire, dans son audition devant la commission d’enquête au Sénat consacrée à la souveraineté numérique, le résume en ces termes : « Ces ruptures technologiques non seulement construiront ou non notre souveraineté politique, mais elles feront au xxie siècle des vainqueurs et des vaincus, comme l’avait fait au xixe siècle la révolution industrielle. Ceux qui maîtriseront les technologies de rupture seront les vainqueurs et leurs clients seront les vaincus. » Ce défi déterminant implique de la part des services de renseignement une plus grande capacité d’adaptation et toujours plus de clairvoyance. Cela engage les services à réviser intégralement leurs méthodes à leur initiative, au lieu d’y être contraints par la menace elle-même.

Cet état des lieux, loin d’être exhaustif, témoigne de l’étendue du champ des conflictualités, théâtres de nos préoccupations.

La DRSD, un service à la croisée des menaces

Les défis que je viens d’évoquer s’inscrivent dans un monde où les intentions les plus obscures augurent de lendemains difficiles. Ils placent les États devant leurs responsabilités, et les décideurs face à l’impératif de tout faire pour éviter le pire. Ces derniers ont d’ailleurs bien compris l’intérêt de disposer de services de renseignement robustes et efficaces qui puissent « éclairer vers l’avant ». C’est la raison pour laquelle j’ai l’habitude de dire que le contexte est favorable à l’action, mais une action coordonnée où chacun agit sur son périmètre. Celui de la DRSD est particulièrement large. Il couvre les unités militaires, qu’elles soient stationnées en France ou à l’étranger, ainsi que tous les acteurs du secteur économique, les instituts de recherche, les associations et organisations présentant un intérêt pour la défense.

C’est sur ce périmètre exclusif, communément appelé « sphère défense élargie », que la DRSD opère quotidiennement pour permettre à la ministre des Armées d’assumer pleinement ses responsabilités en matière de sécurité du personnel, des informations, du matériel et des installations sensibles.

À lire aussi: L’Académie du renseignement, entretien avec le directeur François Chambon

Renseigner sur les menaces

 Il nous faut tout d’abord être pragmatiques et avoir bien conscience que face aux intentions et aux capacités de nuire, quel que soit le sujet ou le secteur, nous serons toujours en situation de déséquilibre par nature.

En effet, comment déceler les intentions terroristes qui naissent dans le secret des alcôves islamistes ou dans la pensée compulsive d’un individu ? Comment anticiper l’intention stratégique d’un obscur aréopage de décideurs qui va, pour neutraliser sur un marché l’un de nos fleurons industriels, mêler captations illégales de données, activisme financier et stratagèmes juridiques ? Comment identifier et caractériser, localiser et cibler les capacités de tous ordres qui permettront ensuite à ces intentions criminelles et illégales de s’incarner en actes contrevenant à nos intérêts et, pire encore, mettre en jeu la vie de nos concitoyens et de nos militaires ?

Il n’y a là rien de nouveau : toute défaite découle de ne pas avoir compris et agi à temps. Savoir et comprendre, c’est notre mission, c’est notre raison d’être, c’est ce qui anime à chaque instant les capteurs et les analystes de la DRSD et le chef que je suis. Nous nous attachons chaque jour à répondre à ce besoin impératif de discernement pour contenir la menace. In fine, notre ministre doit être éclairée pour décider, renseignée pour protéger, conseillée pour faire les choix qui permettront de réduire les risques pesant sur nos militaires, leurs familles, leur environnement, sur nos emprises opérationnelles, nos entreprises de défense, nos capacités d’innovation technologique et sur les informations classifiées.

Pour appréhender la menace sous ses aspects les plus improbables, la DRSD a retenu cinq piliers : le terrorisme, l’espionnage, la subversion, le sabotage et le crime organisé. Chacun de ces vecteurs se décline en modes opératoires et tendances, groupuscules ou cercles associatifs, dont l’identification permet de comprendre les intentions et en estimer les capacités. C’est une équation simple que nous plaquons sur un terrain mouvant. C’est ensuite l’intelligence et l’expérience des 1 500 hommes et femmes qui servent à la DRSD et les moyens techniques dont nous disposons qui nous permettent « d’approcher la vérité » pour décider et agir à temps. Là encore, la loi de 2015 sur le renseignement est venue faciliter notre utilisation de l’ensemble du panel de techniques de renseignement que nous mettons quotidiennement en œuvre.

À lire aussi: Vladimir Volkoff : du renseignement à la guerre de l’information

Protéger nos entreprises de défense

 La conquête des marchés économiques n’est pas nouvelle. Les entreprises le savent, la prise de risque calculée est un trait de caractère qui définit l’entrepreneur. Ce qui illustre cependant le monde économique actuel est, d’une part l’âpre confrontation des volontés donnant l’ascendant aux acteurs les plus omniprésents et omnipotents, et d’autre part le fait que la pression économique constitue bien souvent le prolongement d’une intention politique d’influence ou de conquête. C’est ce qui explique que nous pouvons parler de « guerre économique », dépassant la « coopétition », lorsque les règles du jeu de la concurrence sont balayées. La DRSD s’inscrit pleinement dans ce jeu complexe. Elle a reçu pour mandat de renseigner pour protéger la compétitivité et la pérennité des entreprises de défense ou liées à la défense. Cela englobe environ 4 000 acteurs économiques de toutes tailles. Il s’agit, d’une part de mesurer la résistance de chacun de ces acteurs en identifiant ensemble leurs vulnérabilités et les impacts que générerait une atteinte contre leurs savoir-faire, leurs informations stratégiques ou leurs enceintes. Mais il s’agit surtout d’aller chercher l’information là où elle se trouve pour déceler les intentions de nuire. Ce travail de contact, toujours délicat, fait intervenir les qualités humaines de nos agents, mais aussi de plus en plus souvent des compétences techniques. Il s’agit de s’appuyer, en premier lieu, sur le talent de nos inspecteurs pour traiter des sources par nature sensibles et sur des outils plus sophistiqués pour travailler par exemple sur les réseaux de systèmes d’information et y déceler les traces et occurrences d’attaques cyber. Nous disposons pour cela de tout le panel de compétences requises : juridiques pour traiter de contraintes concurrentielles appliquées par le droit, économiques pour comprendre les stratagèmes financiers, cybernétiques pour contribuer à la protection des données numériques. Le maillage territorial particulièrement dense tissé par la DRSD est un autre atout ; un dispositif agile, revu de manière régulière, qui « colle » à l’industrie. Au-delà du cadre légal, cette proximité donne au service une vraie légitimité pour pénétrer au cœur des entreprises. Elle lui permet de récolter des faits de sécurité qui, analysés au niveau national, permettent d’établir une cartographie actualisée des ingérences et donc des menaces qui pèsent sur elles.

Se transformer : une nécessité absolue

Vous l’avez compris, depuis les attentats de 2015, la sollicitation croissante de la fonction renseignement n’a fait que se confirmer. Dans un contexte de crise durable, et afin de répondre avec toujours davantage d’efficacité aux enjeux prioritaires et aux menaces émergentes, j’ai décidé dès 2018 d’engager le service dans une profonde transformation. Elle passe principalement par une modernisation de ses moyens techniques – notamment de son système d’information souverain –, une remontée en puissance de ses effectifs et une rénovation de ses infrastructures. Cette montée en gamme, qui engage l’avenir, ne peut bien sûr se faire sans une forte détermination politique et un engagement résolu de ressources, à la fois financières et humaines. C’est l’investissement à consentir pour répondre à ces enjeux collectifs prioritaires que sont la sécurité des militaires et de leurs familles et la protection des savoir-faire de nos entreprises.

 

C’est le prix à payer pour permettre à la France d’entamer le xxie siècle dans le camp des vainqueurs.

Voilà la tâche que je me suis fixé, j’y consacre tous mes efforts. Mes équipes sont mobilisées sur cet impératif vital, gage de notre efficacité et de notre crédibilité.

 

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Commentaires 1

  1. William Kergroach says:
    Il y a 7 mois

    « Lettre ouverte aux milieux autorisés à nous protéger

    Je me permets de vous informer d’un incident qui illustre un problème de fond de notre société face au problème du terrorisme.
    Le schéma commun des actions terroristes que subit notre territoire tend à être le fait d’individus isolés, ou faiblement organisés, qui passent à l’acte sans avoir été identifiés par les services de sécurité du pays. Ces individus n’obéissent pas aux règles d’engagement militaires classiques, n’opèrent pas toujours avec le professionnalisme attendu par leurs adversaires aguerris des administrations spécialisées.
    Les opinions et les slogans lus sur des morceaux de rap, sur Instagram, Snapchat, Telegram ou YouTube sont leurs nouveaux manuels d’instruction, plus d’ailleurs que le Coran sur lequel les médias autorisés nous focalisent.

    Il est donc important pour les professionnels en charge permanente de cette lutte de sortir de leurs casernes, de leurs notes de service et de leurs rapports antiquement codifiés pour comprendre ce nouveau paradigme. Pour ce faire, il faut que ces corps constitués apprennent auprès des « civils » que nous sommes.
    Une des occasions d’opérer ces échanges de savoir auraient pu être les conférences de l’IHEDN et de ses succursales provinciales, ouvertes en principe aux citoyens, afin de favoriser des liens entre les militaires et autres services spécialisés et la société civile.

    Or, par routine, par confort, par esprit de caste, ces échanges restent des exercices de networking réservés à quelques notables, à des hauts fonctionnaires et des cadres supérieures de grosses entreprises qui font financer le coût de la formation (une broutille, quelques milliers d’euros), par leurs compte formation et les diligentes cotisations de leurs employeurs…

    Rap, Instagram, Snapchat, Telegram, pop culture ne seront pas décryptés par ces brillants et polis individus… Les milieux militaires et les services de fonctionnaires ne seront donc pas initiés à ce qui nourrit l’imaginaire et les dogmes des actuels candidats terroristes. C’est dommage.

    Ne nous le cachons pas, la société civile nourrit, surtout dans le contexte post-gilets jaunes et confinement, une défiance grandissante envers les services de police, de sécurité, d’état. De leurs côtés, les agents spécialisés se renferment dans leurs citadelles, résolus à soutenir l’assaut de cette société civile qui ne les aime pas et commence, de plus en plus, à les agresser jusque dans leurs domiciles.

    Je prétends faire partie de ces « instructeurs » possibles, prêt, par patriotisme tout simplement, à collaborer avec les services, avec les militaires, pour qu’ils profitent pleinement de l’expertise que je peux avoir sur la société civile. Je suis impatient de les initier, de les aider à acquérir des réflexes et une grille de lecture utile sur les mouvements de la société. Et combien, comme moi, pourraient me rejoindre et aider ces gens qui ont fait voeu de nous protéger ?

    Mais, les résistances subsistent. J’ai contacté l’IHEDN-FMES à Marseille-Toulon pour assister à leurs cycles de conférence, notamment sur le terrorisme dans le contexte méditerranéen. Je vis à Marseille, observe des groupes salafistes comme chacun. Ces rencontres à l’IHEDN auraient pu être l’occasion de rencontrer des personnels des services, d’échanger un numéro de téléphone à appeler au cas où j’observerais quelque chose d’utile à signaler.
    Le général Patrick Lefebvre qui dirige l’école m’a, avec ses assistants, systématiquement opposé l’obligation d’un cycle de formation diplômant; certains de ses assistants ont même cru utile d’ajouter au dossier de candidature à remplir -par mégarde sans aucun doute- la candidature d’un quelconque nerd major de sa promotion, multi-doctorant, pour me faire sentir leur indulgence à bien vouloir m’accepter. Il a fallu de multiples échanges, beaucoup de motivation et d’insistance de ma part, pour que l’on m’informe qu’effectivement il y avait possibilité d’assister seulement aux conférences.

    Je rencontre la même distance aux portes extérieures de la DGSI ou de la DGSE. Sommes-nous si nombreux à vouloir aider nos flics, nos militaires ?
    Non, ils préfèrent rester entre eux. Or, aujourd’hui, quand une grande partie de la population, la plus jeune statistiquement, est prête à faire allégeance à l’Islam radicale, cette attitude est suicidaire pour l’avenir du pays.

    Croyez vraiment que vous pouvez vous permettre de vous passer des quelques bonnes volontés patriotes qui subsistent encore dans le pays ? Croyez-vous vraiment que vous pourrez faire face aux légions de jeunes en déshérence, futurs soldats d’Al Qaida, qui sont actuellement en gestation sur le territoire ? Ne me sortez pas que c’est de l’islamophobie, le danger est trop réel pour que l’on se rappelle de vos dénégations dans quelques mois, quelques années tout au plus.

    Non, il est donc de ma responsabilité de vous secouer, de vous sortir de votre torpeur, au risque de vous froisser. Bougez-vous, sortez de vos murs, venez chercher de l’aide parmi la population de braves gens qui aiment ce pays autant que vous, même s’ils ne saluent pas quotidiennement le drapeau au son du clairon.

    William Kergroach, écrivain, Marseille 9 septembre 2020″

    Répondre

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