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Les constructeurs aéronautiques européens

Olivier Kempf De Olivier Kempf
24 octobre 2020
Dans Economie, énergies et entreprises, Europe
10 Minute de lecture
Les constructeurs aéronautiques européens

F-35A Lightning 11 (c) Gary Dawson/REX/Shutterstock (9763506v)

 « Constructeurs aéronautiques européens » : la dénomination pose un problème, car elle suggère d’inclure non seulement les fabricants d’avions, mais aussi les motoristes voire les principaux sous-traitants. Ensuite, la notion d’européen est difficile à définir. Airbus est une société européenne dont le siège est aux Pays-Bas et pourtant, elle est détenue en grande partie par les Français et une partie importante de son appareil de production est situé en France. Airbus sera ici considéré comme français et ne sera donc pas décrit. De même, les producteurs russes seront considérés. Enfin, nous traiterons des principales sociétés, qu’elles soient spécialisées dans les marchés civils ou de défense, en ignorant les trop « petits constructeurs ».

 

Constructeurs britanniques

Les Britanniques ont une position extrêmement forte dans le secteur aéronautique, notamment militaire. Ils bénéficient d’une forte présence outre-Atlantique. Ce secteur est un des éléments les plus solides de leur base industrielle et technologique de défense (BITD).

BAe systems

Le principal constructeur britannique est BAe Systems (British Aerospace Systems), dont le siège social est à Farnborough. Elle est spécialisée dans les matériels de défense au point de constituer la 3e entreprise mondiale du secteur (derrière les américains Lockheed-Martin et Raytheon). Elle est née en 1999 de la fusion de l’ancienne British Aerospace (BAe) et de Marconi Electronic systems. BAe a réalisé en 2019 un chiffre d’affaires de 18,3 Mds £ (bénéfice net de 1,476 G £). BAE Systems Inc. est la filiale américaine et réalise 36 % du chiffre d’affaires de la société. Si BAe a des activités dans tous les segments (terre, mer, renseignement, électronique), nous nous intéresserons ici à son activité aéronautique.

La division Regional Aircraft ne produit plus d’avions en tant que tels, mais assure le soutien de produits encore en service tels le BAe 146/Avro (avion de transport court courrier à réaction, entré en service en 1983), le BAE ATP (avion de ligne des années 1980), le Jetstream (petit transport régional à turbopropulseur, construit dans les années 1990) et le BAE 748 (conçu dans les années 1960). Cette activité est aujourd’hui marginale comparée à la branche militaire de BAe systems Military air and information (MAI).

MAI produit plusieurs avions, dont l’Eurofighter Typhoon, développé en coopération avec l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne. Les premiers appareils ont été livrés en 2004, mais d’autres pays en ont acquis (Autriche, Oman, Koweït, Arabie saoudite, Qatar). 540 Eurofighters ont été livrés au 31 mai 2018 (623 commandés). Cet avion assez lourd (11 tonnes à vide) est destiné à la supériorité aérienne (là où le Rafale, un peu plus léger, est d’emblée conçu comme un avion multirôle). Toutefois, il souffre de plusieurs défauts : son coût, tout d’abord, mais aussi l’impossibilité d’une version navalisée et des performances aériennes un peu décevantes.

À lire aussi : L’intelligence économique, une culture du renseignement appliquée à l’entreprise

BAe MAI participe donc au programme américain F35 (Lightning II). Cet avion de 5e génération est développé depuis 1996 par Lockheed-Martin avec l’aide de Northrop-Grumann et BAe. Le Royaume-Uni a longtemps hésité entre la version B (décollage et atterrissage vertical) et C (décollage par catapulte, atterrissage par brin d’arrêt) pour équiper ses porte-avions. Finalement, la version B est retenue par le MOD, malgré les nombreuses déceptions suscitées par le F35. BAe System est chargé de la conception et de la fabrication du fuselage arrière (y compris les dérives et ailerons) et d’une grande partie de l’électronique de bord ainsi que du système de guerre électronique. BAE prépare par ailleurs un avion de combat de sixième génération au profit du MOD britannique, au sein d’un partenariat avec Rolls-Royce, Leonardo et MBDA. Il serait produit vers 2035 pour équiper la RAF.

MAI a également construit le Tornado (développé dans les années 1970) qui est toujours en service (R-U, RFA, Italie, Arabie saoudite). Il a également produit le Harrier (avion à décollage vertical développé dans les années 1960) et le Hawk 128, avion d’entraînement à turbopropulseur, mis en service au milieu des années 1970 et construit à 670 exemplaires.

Rolls Royce

Rolls Royce Holdings plc est un fabricant de moteurs d’avions et de navires et un concepteur de navires. Elle a été séparée de Rolls Royce motors (le fabricant de voitures) en 1973. Elle est un des premiers constructeurs de moteurs d’avions avec les Américains General Electric et Pratt & Whtiney et le Français Safran. Environ 75 % de son chiffre d’affaires (18,5 Mds € en 2018) est consacré à l’aéronautique. À la suite de pertes, le groupe subit des restructurations successives depuis 2017. En mai 2020, la société a annoncé la suppression d’un cinquième de son personnel (9 000 postes) à la suite de la pandémie de coronavirus.

Le groupe a fourni des moteurs notamment au Tornado et à l’Eurofighter : ce sont des RB 199 modifiés. Il a travaillé avec General Electric sur le moteur du F35 jusque 2011. Il a également produit le F402 Pegasus qui a équipé les Harrier. Le MTR 390, construit avec MTU Turbomeca, équipe l’hélicoptère Tigre et les T 406 équipent les Bell V22 Osprey américains. Il a participé au TP 400 qui équipe les A 400 M d’Airbus.

Autres sociétés

GKN est une société du secteur de la défense avec un segment aéronautique. Son chiffre d’affaires s’élève à 9,7 G £ (2017). Elle a vendu en 2004 la société d’hélicoptère Westland à l’italien Finmeccanica (devenu depuis Leonardo). Elle a ensuite acquis un certain nombre de sociétés (Japon, États-Unis) et surtout Volvo aero en 2012 et Fokker en 2015. GKN a participé aux B787 et aux Airbus 350, A 400M et au F35.

À lire aussi : Rupture technologique et sursaut de la sensibilité

Cobham est spécialisée dans les avions ravitailleurs. Son chiffre d’affaires est de 1,873 G £ (2018). Elle emploie 10 000 collaborateurs (la moitié aux États-Unis) et a été rachetée en janvier 2020 par un fonds d’investissement américain pour 4 G $.

Le Royaume-Uni possède un important secteur de maintenance et de réparation. Notons également que les PME et TPE constituent 55 % des ventes de l’aérospatial civil.

 

Constructeur italien

Derrière les Britanniques, les Italiens sont le principal acteur européen dans le secteur aéronautique, notamment pour ce qui concerne les hélicoptères, mais aussi les avions courts courriers.

Leonardo

L’Italie est un acteur européen important en matière d’aéronautique, grâce au groupe Leonardo, anciennement Finmeccanica. Il est principalement spécialisé dans les hélicoptères et l’industrie de défense et réalise un chiffre d’affaires de 13,8 G € (2019) avec 46 000 collaborateurs dans plus de 100 pays, atteignant ainsi la 8e place mondiale. Leonardo résulte de la réorganisation en 2017 de Finmeccanica avec l’intégration de plusieurs filiales et notamment, dans le domaine aéronautique, d’Agusta-Westland et de Alenia aermacchi. Il a des participations notamment dans Thales Alenia space, MBDA et ATR. La société est organisée en cinq divisions : hélicoptères, aéronefs, aérostructures, électronique et cybersécurité. Pour les aéronefs, outre la participation dans ATR, Leonardo participe au programme Eurofighter avec BAe et Airbus. Mais son point fort reste les hélicoptères grâce à la famille de machines construites par Agusta-Westland : la gamme est à la fois civile et militaire du mono-turbine de 1,8 T au tri-turbines de 16 T. Sur la gamme militaire récente, on peut notamment citer l’AW 149 (8,6T), l’AW 159 Wildcat (6T), la participation au NH-90 (10,6T) et au T129 turc (5T), et bientôt l’hélicoptère d’attaque AW 249.

ATR

Cette société franco-italienne, établie à Toulouse Blagnac, est une coentreprise entre Airbus et Leonardo (à l’origine, Aérospatiale et Aeritalia), au chiffre d’affaires de 1,8 G $ (2017). Elle produit notamment les ATR 42 et ATR 72. Le fuselage et la queue sont fabriqués à Pomigliano d’Arco, près de Naples, les ailes près de Bordeaux et l’assemblage final à Blagnac.

Avio

Avio est une société italienne, ancienne filiale de FIAT, spécialisée dans les moteurs. Elle a été vendue en 2006 au fonds d’investissement anglais Cinven (72 % des parts, les 28 % étant détenus par Leonardo). L’activité composants de moteurs a été vendue à General Electric en 2012. Avio conserve l’activité de propulsion spatiale. Elle est établie à Collofero, près de Rome, avec un chiffre d’affaires de 388 M € (2018) pour 1 000 employés. Cette société est importante pour l’Italie qui conserve un intérêt pour l’activité spatiale.

 

Constructeurs allemands

Curieusement, alors que les Allemands sont dans les premiers rangs de l’industrie de défense, ils sont relativement peu spécialisés dans le secteur aéronautique. Ils disposent ainsi de peu d’activité (il ne faut cependant pas oublier leur participation dans Airbus qui affecte la perception de leur place).

MTU

MTU (Motoren- und Turbinen-Union GmbH) trouve son origine dans l’activité aéronautique de BMW puis dans l’activité de Daimler-Benz. Après diverses restructurations, MTU Aero engines, établie à Munich, n’a pas d’actionnaire principal, son capital étant flottant (Bourse de Francfort). Son chiffre d’affaires atteint 4,56 G € (2018) pour 8 000 salariés. MTU produit principalement en partenariat, notamment pour les Tornado, les Eurofighters, les turbo-propulseurs de l’A 400M ou le MTR 390 équipant le Tigre.

À lire aussi : L’Europe désarmée

De nombreuses sociétés européennes ont des filiales en Allemagne : il s’agit d’Airbus, de Rolls-Royce, d’Astrium. On peut également signaler la société Bertrandt, (1,05 G € 2018) qui a une petite activité aéronautique (établie à Möglingen en Souabe).

 

Constructeur suédois

La Suède présente un cas intéressant d’un pays voulant disposer d’une BITD assez complète afin d’assurer une souveraineté nationale (assez proche finalement de l’approche française).

Saab

SAAB (Svenska Aeroplan Aktiebolaget) a été fondée en 1937. C’est une compagnie entièrement privée détenue principalement par la famille Wallenberg. Elle a un chiffre d’affaires de 3,5 G € dont la moitié dans le secteur aéronautique, et est très portée vers l’international (100 pays clients). Elle est principalement connue pour fabriquer le Gripen, un chasseur multirôle de 4e génération qui a été bien exporté (Hongrie, Tchéquie, Afrique du Sud, Thaïlande, Brésil). Saab fabrique également le Global Eye, avion AWACS (détection et commandement aéroporté) sur une base de l’avion Bombardier Global Express (1er vol en 2019). Saab fabrique enfin un avion de patrouille maritime, le Swordfish. Il construit également le drone Skeldar et participe activement au démonstrateur nEUROn avec Dassault. Pour les avions civils, Saab fabrique le 340, petit bimoteur court courrier, et le Saab 2000, lui aussi bimoteur régional. Enfin, Saab est un équipementier important (radars, électronique embarquée, système de contrôle aérien).

 

Constructeurs russes

On peut considérer que les Russes ne sont pas totalement européens. Les négliger, cependant, serait fautif si l’on considère la place qu’ils ont prise dans le marché aéronautique de défense (leur position sur le marché civil est beaucoup plus faible). On a assisté à un phénomène de concentration au cours des quinze dernières années qui a conduit à la construction de géants qui n’ont rien à envier à leurs homologues occidentaux.

UAC

La United Aircraft Corporation (Объединённая авиастроительная корпорация- OAK en russe) est un consortium créé en 2006 et réunissant les principaux constructeurs aéronautiques russes : Soukhoï, MIG, Tupolev, Illiouchine, Yakovlev, Beriev et Irkout. Son capital est public à 75 %. UAC détient 5 % d’Airbus. Elle effectue un chiffre d’affaires de 451 milliards de roubles soit 7,5 G $, ce qui la place au 15e rang des constructeurs mondiaux de défense en 2018, selon le SIPRI. La production est impressionnante avec, pour la décennie 2010, le Su T50 (chasseur de 5e génération), l’Irkut MC 21 (moyen courrier), le CRAIC CR 929 (long courrier à l’origine de la création d’une coentreprise avec les Chinois afin de défier le duopole Airbus-Boeing), tandis que le projet d’Illiouchine 214 (avion de transport multirôle) voyait éclater le partenariat avec les Indiens, les Russes poursuivant seuls le projet.

À lire aussi : L’Union européenne : Renonciation à la puissance ?

UAC est désormais contrôlé par le consortium Rostec qui possède également Russian helicopters (chiffre d’affaires de 3,2 G $ en 2016) et le fabricant de moteurs United engine corporation (chiffre d’affaires de 2,83 G $ en 2016).

Signalons enfin Almaz-Antei, qui est l’électronicien russe, fabricant notamment des radars, des systèmes de navigation ou de contrôle aérien, etc. Selon le SIPRI, il a vendu pour 9,6 G £ d’armes en 2018.

 

Il existe d’autres constructeurs aéronautiques européens, un rang derrière ceux jusqu’ici présentés.

Espagne

Casa est une société aéronautique espagnole qui a été intégrée à Airbus en 2000 (au sein d’Airbus defence and space depuis 2014). Elle fabrique notamment le Casa 212, petit avion militaire de transport.

INDRA est un groupe spécialisé en informatique et un peu en électronique de défense (donc pas vraiment en aéronautique), mais qui a été désigné par le gouvernement espagnol pour être le coordonnateur de l’industrie espagnole dans le cadre du projet de SCAF (système de combat aérien du futur, qui sera organisé par Dassault et Airbus, Safran et MTU, mais aussi MBDA et Thalès) : il va donc renforcer sa branche aéronautique.

On peut aussi signaler Aciturri, petit équipementier aéronautique (aérostructures et composites) établi à Burgos, au chiffre d’affaires de 302 M € (2018). Le petit fabricant de moteur ITP est détenu par Rolls-Royce.

 

Suisse, Benelux

Pilatus est une société suisse (chiffre d’affaires 1,17 Mds CHF), fabricant des petits monomoteurs turbopropulsés. Elle a lancé en 2015 le PC 24, petit biréacteur d’affaires.

Sonaca est une société belge établie à Charleroi, au chiffre d’affaires de 900 M €, spécialisée dans la conception et la fabrication des parties mobiles des ailes (lattes et volets) et des pièces complexes. Elle développe un petit biplace de loisir (S 200, premier vol en 2017). Elle travaille avec Dassault et Embraer, avec une petite activité spatiale.

Fokker technologies est un équipementier néerlandais, vendu en 2015 au britannique GKN.

 

Europe centrale et de l’Est

La Pologne a eu de petits constructeurs aéronautiques. À l’ère moderne, on peut mentionner PZL Mielec, racheté en 2007 par l’américain Sikorsky et PZL Świdnik, fabricant d’hélicoptères (SW4 et W-3) privatisée en 1990 et rachetée par Agusta Westland.

IAR est un constructeur roumain d’hélicoptères (chiffre d’affaires de 380 M € 2019) qui a noué un partenariat en 2000 avec Eurocopter (devenu depuis Airbus). Il a fabriqué sous licence des Puma.

La Tchéquie accueille plusieurs fabricants de petits avions et notamment Aero Vochody qui fabrique un petit monomoteur (Ae 270) fabriqué en coopération avec Taïwan. Il est également sous-traitant de Boeing et de Sikorsky. Signalons aussi LET Kunovice, fabricant de petits appareils civils, racheté en 2008 par une société russe.

 

Ce tour d’horizon a permis de décrire une base industrielle aéronautique européenne assez riche. Si les gros avions civils restent l’apanage de l’européen Airbus, l’aviation militaire ou la petite et moyenne aviation commerciale est assez bien représentée. Les plus gros acteurs se trouvent au Royaume-Uni (avec trois acteurs de premier plan : BAE, Rolls-Royce et GKN), mais on reste admiratif de l’envergure d’un Leonardo (qui pourtant ne fabrique pas de chasseurs), de l’inventivité d’un Saab ou encore de la persistance de petits constructeurs en Europe centrale et orientale, qui pourraient croître.

Il reste que la pandémie du Covid-19 a durement frappé l’aviation civile et que le secteur risque de pâtir de l’effondrement du marché. De prochaines restructurations sont à prévoir et ceux qui auront une activité duale, militaire et civile, leur permettant de sauvegarder leur appareil de production et leurs bureaux d’étude, seront favorisés. Cependant, il est probable que le tableau dressé ici aura beaucoup évolué d’ici trois à cinq ans.

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Tags: abonneaéronautiqueentreprisesMilitairetechnologie
Olivier Kempf

Olivier Kempf

Le général (2S) Olivier Kempf est docteur en science politique et chercheur associé à la FRS. Il est directeur associé du cabinet stratégique La Vigie. Il travaille notamment sur les questions de sécurité en Europe et en Afrique du Nord et sur les questions de stratégie cyber et digitale.

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