Podcast. La France face aux printemps arabes. Jacques Myard

8 mars 2021

Temps de lecture : < 1 minute

Photo : Tunis, capitale de la Tunisie et point d'ignition des printemps arabes (c) Pixabay

Abonnement Conflits

Podcast. La France face aux printemps arabes. Jacques Myard

par

Ancien député des Yvelines et membre de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, Jacques Myard a notamment été le rapporteur du rapport sur les printemps arabes. Il s’est rendu à de nombreuses reprises dans la région et a rencontré Bachar al-Assad en 2013.

Il revient sur le déroulement des printemps arabes et sur la diplomatie menée par la France à cette époque.

Émission présentée par Jean-Baptiste Noé.

Retrouvez les autres podcasts de Conflits :

Mots-clefs : ,

Vous venez de lire un article en accès libre

La Revue Conflits ne vit que par ses lecteurs. Pour nous soutenir, achetez la Revue Conflits en kiosque ou abonnez-vous !
À propos de l’auteur
Jean-Baptiste Noé

Jean-Baptiste Noé

Docteur en histoire économique (Sorbonne-Université), professeur de géopolitique et d'économie politique à l'Ircom. Rédacteur en chef de Conflits.

Voir aussi

La Seine : ses trésors cachés

La Seine : Vikings, impressionnistes, méandres et Paris. Balade au fil de ce fleuve emblématique de la France et découverte de ses trésors cachés La Seine prend naissance en Bourgogne. Si elle est mondialement connue pour traverser Paris, son histoire commence bien en amont, dans un...

Pépé Mujica, guérillero et président 

Le 14 mai 2025, une foule immense se tient sur les trottoirs de l’avenue 18 de Julio, la plus grande artère de Montevideo, capitale de l’Uruguay. Elle applaudit avec émotion le cortège funéraire de José Mujica, dont le cercueil est tiré d’un pas lent par un quadrige de chevaux emplumés de noir. Victime d’un cancer de l’œsophage, Mujica meurt le 13 mai à l’âge de 89 ans. Il fut le président du pays – La República Oriental del Uruguay –, du 1er mars 2020 au 1er mars 2025, et le moins que l’on puisse en dire, c’est qu’il se révéla un président tout à fait singulier.

L’argumentation fallacieuse derrière la « taxe Zucman »

Le 12 juin dernier, le Sénat a rejeté la proposition de loi déposée par Éva Sas et Clémentine Autain, députées du groupe Écologiste et Social, visant à instaurer un impôt plancher sur la fortune (IPF) de 2 % sur le patrimoine des ultrariches (1 600 à 1 800 foyers fiscaux). Le matin même, dans Le Monde, trois économistes de renom1, dont l’inspirateur de cet impôt rebaptisé à ce titre « taxe Zucman », en assuraient la promotion sur la base d’arguments fallacieux qui doivent tour à tour être réfutés.