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Des Lumières en Espagne ou le développement de la philosophie au XVIIIe siècle outre-Pyrénées 1/3

Nicolas Klein De Nicolas Klein
6 avril 2020
Dans Europe, Europe occidentale, PREPA
10 Minute de lecture
Des Lumières en Espagne ou le développement de la philosophie au XVIIIe siècle outre-Pyrénées 1/3

Statue équestre de Charles III, place de la Puerta del Sol, à Madrid, Auteurs : Chameleons Eye / Rex Fe/REX/SIPA, Numéro de reportage : REX40233320_000023.

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Après le Siècle d’or, l’Espagne, dans la mémoire collective, a sombré dans les ténèbres, l’immobilisme et la décadence. Cette image participe de la légende noire espagnole, qui enferme ce pays dans l’obscurantisme et le sous-développement. Pourtant, cette opinion de rue est loin de la réalité. L’Espagne a connu une vie intellectuelle riche et dense tout au long du XVIIIe siècle. C’est ce que Nicolas Klein analyse et présente pour les lecteurs de Conflits, dans une série en trois épisodes.

Première partie – Le contexte historique, politique et intellectuel

 

L’Espagne a-t-elle apporté quelque chose à la civilisation occidentale ?

En 1782, dans le cadre de l’Encyclopédie méthodique éditée en France par Charles-Joseph Panckoucke, le géographe Nicolas Masson de Morvilliers s’exprime en ces termes concernant notre voisin ibérique : « Les Espagnols […] ont exercé dans l’Europe et dans les Indes des cruautés qui font frémir et qui les ont rendus odieux aux peuples des deux mondes. […] L’Espagne est peut-être la nation la plus ignorante de l’Europe. Tout ouvrage étranger est arrêté. Les moines font la loi… […] Aujourd’hui, le Danemark, la Suède, la Russie, la Pologne même, l’Allemagne, l’Italie, l’Angleterre et la France, tous ces peuples ennemis, amis, rivaux, tous brûlent d’une généreuse émulation pour le progrès des sciences et des arts […]. Chacun d’eux, jusqu’ici, a fait quelque découverte utile, qui a tourné au profit de l’humanité ! Mais que doit-on à l’Espagne ? Et depuis deux siècles, depuis quatre, depuis dix, qu’a-t-elle fait pour l’Europe ? » (1)

Le jugement, aussi brutal soit-il, est loin d’être isolé dans l’Europe prérévolutionnaire. Voltaire n’a pas un meilleur avis sur le rôle historique de l’Espagne, lui qui voit en Philippe II (1556-1598) une sorte de « démon du midi », contrepoint parfait du bon Henri IV si tolérant (2). À une époque où les nations modernes commencent véritablement à prendre forme et où les stéréotypes sont des points d’ancrage fondamentaux dans leur perception, Montesquieu n’est pas plus tendre à l’égard de nos voisins méridionaux (3). L’on retrouve la même hispanophobie rabique chez nombre d’auteurs de l’époque, depuis le marquis d’Argens jusqu’à l’abbé Reynal en passant par madame d’Aulnoy. Si le Portugal subit peu ou prou le même sort, il n’en va pas ainsi pour l’Italie, berceau de la civilisation européenne. Par ailleurs, une tendance similaire est aisément repérable au siècle suivant (4). Toute l’Europe est concernée par cette propension à voir en la péninsule Ibérique une sorte de désert de la civilisation, des arts et des sciences (5).

C’est pourquoi la décision des autorités françaises de censurer l’Encyclopédie méthodique sur demande de l’ambassadeur d’Espagne à Paris, Pedro de Bolea y Pons de Mendoza, comte d’Aranda, ne fait pas longtemps illusion. Chacun sait en effet que cet auteur n’a fait que formuler ouvertement ce que toutes les élites européennes pensent tout bas.

A lire aussi: Une nation sans récit. L’Espagne empêtrée dans la (re)lecture de son histoire

Les Bourbons d’Espagne, promoteurs de la pensée des Lumières

Il ne nous appartient pas ici de trancher ce débat qui anime l’historiographie ibérique depuis plus de deux siècles ni même de revenir sur les multiples apports de l’Espagne à la culture européenne et mondiale. L’on peut en revanche s’étonner de la virulence des propos susmentionnés. N’y a-t-il pas un courant philosophique qui, issu des Lumières européennes, brille outre-Pyrénées et reprend à son compte les idées alors en vogue dans les autres nations du continent (progrès, science, rationalité, réforme, éducation, élévation de l’esprit) ?

Bien que beaucoup moins connus que leurs confrères anglais, français ou germaniques, les penseurs et écrivains des Lumières sont, en Espagne, actifs et féconds. Ils profitent de l’accession au trône des Bourbons venus de France en la personne du duc d’Anjou, Philippe V (1700-1746), dont les descendants règnent encore aujourd’hui. Jusqu’à l’invasion napoléonienne (1808-1814), ses fils Louis Ier (janvier-août 1724 (6)), Ferdinand VI (1746-1759) et Charles III (1759-1788) ainsi que son petit-fils Charles IV (1788-1808) se succèdent à la tête d’un pays qu’ils tentent de transformer en profondeur, notamment d’un point de vue économique et technologique. C’est l’âge d’or de ce que l’on appelle outre-Pyrénées la Ilustración, terme plus proche de l’anglais Enlightenment ou de l’allemand Aufklärung que du français « Lumières » (bien que l’on trouve également l’expression siglo de las Luces dans la langue de Cervantes).

C’est bel et bien l’influence française qui est déterminante dans l’essor de ce mouvement intellectuel particulièrement patent sous le règne de Charles III, prototype espagnol du déspota ilustrado (« despote éclairé »). Ayant fait ses armes en tant que roi de Naples (7) et de Sicile entre 1734 et 1759, le fils aîné de Philippe V et Élisabeth Farnèse (8) est le plus proche des courants réformateurs hispaniques – même si son père, formé en plein Grand Siècle par Fénelon et le duc de Beauvilliers, se distingue lui aussi par un solide bagage intellectuel (9). Tout au long de la période, l’on voit se multiplier les créations d’académies (dont celle de la Langue espagnole), de sociétés savantes et de groupes de réflexion qui animent la vie des idées outre-Pyrénées et renouvellent la recherche scientifique et technique (10).

Les ministres dont s’entoure Charles III – qu’ils soient espagnols comme le comte d’Aranda, Pedro Rodríguez de Campomanes, José Moñino y Redondo, comte de Floridablanca, ainsi que Pablo de Olavide, ou étrangers, à l’instar du Génois Leopoldo de Gregorio, marquis d’Esquilache – sont pour beaucoup dans le développement d’un esprit progressiste chez notre voisin pyrénéen (11).

Il ne faut cependant pas oublier que, comme en France ou en Angleterre, ces hommes d’État ainsi que les philosophes et écrivains à qui ils permettent de s’épanouir font partie d’une minorité (l’historiographie espagnole parle à leur sujet de minoría selecta) (12). Par ailleurs, les ministres du « despote éclairé » ne surgissent pas du néant puisqu’ils ont suivi leurs études au sein de structures sociales traditionnelles (aristocratie, clergé, petite bourgeoisie) et dans les Colegios Mayores, ces universités du Siècle d’Or longtemps marquées par la scolastique. L’on retrouve parmi eux une majorité de golillas, ces juristes (letrados) formés à Salamanque, Valladolid ou encore Alcalá de Henares, ainsi que leurs adversaires de toujours, les manteístas, issus d’universités moins prestigieuses (13).

 

Un bouillonnement contrôlé

C’est par conséquent dans un cadre officiel et souvent surveillé (certains historiens parlent de cultura tutelada (14)) que les Lumières espagnoles fleurissent. Elles doivent leur protection, comme nous l’avons dit, à Charles III et ses conseillers,[15](15) mais, plus globalement, à l’absolutisme royal qui favorise la mise en œuvre dans l’ensemble de l’Europe d’une série de mesures modernisatrices de tout premier plan. L’Espagne n’échappe pas à ce phénomène (16).

Mais le monarque n’est pas le seul à avoir son mot à dire dans la vie intellectuelle espagnole. Les ouvrages publiés outre-Pyrénées doivent obtenir l’imprimatur du Conseil de Castille, et plus particulièrement du Tribunal des Imprimeries (Juzgado de Imprentas), qui peut les censurer (17). La procédure est identique pour les publications étrangères et pour les revues éclairées de l’époque, comme La gaceta de Madrid et El mercurio (18).

 

Des oppositions internes aux Lumières

De façon générale, les oppositions à ce que d’aucuns nomment péjorativement filosofía, voire filosofismo (19), ne sont pas rares en Espagne – pas plus qu’elles ne le sont sur le reste du continent. La remise en cause de la théologie comme discipline-reine de l’intellect, le rejet de la vision du monde imposée par la Contre-Réforme, le dépassement du baroque et l’analyse de l’univers sensible loin des catégories aristotéliciennes en vigueur dans la scolastique médiévale et moderne sont autant de facteurs qui bousculent une élite culturelle et éducative peu encline à laisser sa place (20).

L’impopularité des réformes se traduit par exemple avec la révolte contre le ministre Esquilache (motín de Esquilache). En mars 1766 éclate à Madrid puis dans d’autres villes espagnoles une rébellion populaire contre le décloisonnement du marché intérieur en pleine crise frumentaire, mais aussi et surtout contre des interdictions frappant certains éléments de la tenue traditionnelle espagnole. Tout cela contribue à mettre à mal le début du règne de Charles III. Ce dernier est contraint d’accepter la démission et l’exil de Leopoldo de Gregorio qui chute moins sur la prohibition du port du chambergo (chapeau mou à bords larges très en vogue à l’époque) que sur les limites intrinsèques au réformisme bourbonien (21).

Les pesanteurs de la société sont bien vite attribuées par le monarque et les « philosophes » à l’emprise de la religion catholique, qu’il s’agit de limiter en matant l’Inquisition (laquelle n’est déjà plus que l’ombre d’elle-même) (22) et en expulsant les jésuites hors de toutes les possessions espagnoles (23).

A lire aussi: Cervantes à la conquête du monde ou la défense de l’espagnol par l’Espagne

Une soif de réformes… à Madrid et en province

Parallèlement au mouvement de construction nationale (qui débute un peu partout en Europe à cette époque (24)) la modernisation de l’Espagne apparaît comme une nécessité absolue aux yeux des Lumières d’outre-Pyrénées. Les ministres et penseurs appartenant à ce courant ont conscience que le redressement de leur pays après les années difficiles des règnes de Philippe IV (1621-1665) et Charles II (1665-1700) passera par l’adoption de solutions déjà expérimentées en France, en Angleterre ou dans certaines principautés germaniques.

Comme le soulignent les historiens contemporains, c’est plus la thématique de la décadence espagnole, la perception (nécessairement subjective) d’une décadence plutôt que la réalité de ce phénomène qui poussent les hommes de lettres et les intellectuels à réfléchir aux causes du malaise qui touche leur pays. Les raisons avancées au xviiie siècle puis et durant les périodes qui suivent sont nombreuses, souvent imprécises et généralement peu convaincantes (voire grotesques) : le dédain des Espagnols pour la technologie et les travaux manuels ; l’expulsion des Juifs en 1492 puis des morisques (ces musulmans convertis au christianisme pour la façade) en 1613 ; la toute-puissance de la Mesta, cette association (on dirait aujourd’hui lobby) des propriétaires de troupeaux ovins transhumants ; la saignée militaire nécessaire au maintien de la prépondérance des Habsbourgs en Europe ; l’émigration des forces vives vers l’Amérique ; l’administration déficiente de la Maison d’Autriche, etc. (25)

L’abondante réflexion générée par de telles considérations contribue à créer le sentiment que ce n’est pas que l’Espagne ait des problèmes, mais que l’Espagne soit un problème en elle-même.

Les entraves économiques et institutionnelles au développement de notre voisin ibérique dans le cadre européen sont réelles. En ce sens, évoquer l’omnipotence de la Mesta (responsable, au moins en partie, du retard agricole dont souffre le pays) ou la dépendance des finances royales envers les métaux venus du Nouveau Monde ou la banque française s’avère pertinent (26). Néanmoins, la multiplication des sources de plaintes et l’obsession de certains, aussi bien en Espagne qu’à l’étranger, pour l’idée de décadence rendent in fine stérile toute philosophie ilustrada.

Ce n’est fort heureusement pas le comportement de tous les représentants des Lumières espagnoles, bien au contraire. Souvent modérés et pragmatiques (27), les penseurs et hommes d’État de la période proposent des réformes plus ou moins ambitieuses tous azimuts. Il semble effectivement difficile que toutes puissent aboutir et certaines sont même de cuisants échecs – ce qui nourrit à intervalle régulier la mélancolie des intellectuels espagnols, qui voient dans le règne de Charles III une occasion manquée de transformer leur pays en profondeur (28).

Pourtant, il faut bien le dire : bon nombre de ces mesures ont porté leurs fruits et l’Espagne a longtemps vécu « sur » le legs de l’Ilustración. Nous pouvons déjà citer pêle-mêle (29) :

  • la création de société savantes, de clubs de réflexion (les futurs casinos (30) espagnols du xixe siècle), d’académies et de rassemblements dont le but est d’œuvrer pour le bien public – on les retrouve dans l’ensemble de la géographie espagnole, et pas seulement à Madrid (31);
  • la volonté de mieux éduquer le peuple, notamment en supprimant certains divertissements de nature religieuse, comme les autos sacramentales (pièces à caractère hagiographique très populaires dans l’Espagne médiévale et moderne), mais aussi en attaquant le monopole ecclésiastique sur l’université (32);
  • les décisions visant à améliorer la situation sociale des Espagnols les plus modestes, notamment en luttant contre la mendicité en aval et en modernisant l’agriculture et l’irrigation en amont, que ce soit d’un point de vue théorique (33) ou pratique (34);
  • la réorganisation de l’État, de l’administration territoriale (35) et des colonies américaines, notamment afin d’en tirer un plus grand profit économique (36);
  • le repeuplement de certains déserts démographiques, comme dans la Sierra Morena, au Nord de Cordoue (37);
  • la stimulation de l’industrie naissante, notamment en Catalogne, et la fondation de manufactures royales sur un modèle plus ou moins colbertiste (38),

 

La véritable ébullition intellectuelle et politique que connaît l’Espagne dans les années 1760-1780 ne se limite pas à la capitale. De nombreux penseurs et décideurs naissent et font leurs armes en Catalogne (Antoni de Capmany, Jaume Bonnels, Josep Climent), en Galice (Benito Jerónimo Feijoo, Martín Sarmiento), en Aragon (le comte d’Aranda), dans l’ancien Royaume de Murcie (Floridablanca), dans la Principauté des Asturies (Campomanes, Gaspar Melchor de Jovellanos), en Andalousie (José Cadalso) voire dans les colonies américaines de l’Espagne (comme Olavide, qui est né à Lima) (39). Ce n’est donc pas un hasard si, en 1962, l’écrivain cubain Alejo Carpentier situe l’action du roman El siglo de las Luces à La Havane.

Ce bouillonnement ne va pas sans une série d’affrontements idéologiques qui recouvrent des oppositions antérieures au règne de Charles III. C’est que les Lumières espagnoles ne naissent pas du néant et ne doivent pas leur succès uniquement à l’influence française ou anglaise. Elles plongent leurs racines dans un mouvement réformiste plus ancien qui constitue un cinglant démenti à tous ceux qui veulent voir en l’Espagne une nation sans pensée propre.

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Tags: EspagneLumièresPhilosophieréforme
Nicolas Klein

Nicolas Klein

Nicolas Klein est agrégé d'espagnol et ancien élève de l'ENS Lyon. Il est professeur en classes préparatoires. Il est l'auteur de Rupture de ban - L'Espagne face à la crise (Perspectives libres, 2017) et de la traduction d'Al-Andalus: l'invention d'un mythe - La réalité historique de l'Espagne des trois cultures, de Serafín Fanjul (L'Artilleur, 2017).

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